Selon Larousse, la proximité se détermine par «la situation de quelqu’un, de quelque chose qui se trouve à peu de distance…». Pour illustrer cette définition élémentaire, le célèbre dictionnaire fournit un exemple tout aussi limpide: «La proximité des commerçants facilite le ravitaillement». Or il se trouve que cette phrase toute simple est au cœur des engagements de Pharmacie Populaire depuis depuis plus de 126 ans: offrir un réseau de proximité dans le canton de Genève.
Donc P… comme Populaire:
Pharmacie Populaire, l’appellation elle-même donne une dimension supplémentaire aux engagements de proximité de l’entreprise. D’une part parce que le terme «populaire» fait référence à la population, c’est-à-dire à l’ensemble des habitants d’un lieu. Et d’autre part, il y a dans «populaire» l’idée d’être connu, apprécié du plus grand nombre.
Et P… comme Personnalisé:
La proximité humaine, une notion en voie de disparition? Pas chez Pharmacie Populaire, qui est tellement consciente que rien ne remplacera jamais la relation entre le patient et le soignant qu’elle en a fait son cheval de bataille. Se sentir reconnu, compris, obtenir des réponses précises à ses besoins, évoquer avec un professionnel de la santé des sujets intimes, sans rendez-vous, dans un espace confidentiel. Voilà les forces du service personnalisé d’une officine de quartier!
Mais aussi P… comme Premiers secours:
Comme conséquence directe du service de proximité, quoi de plus concret qu’un accès immédiat à des soins professionnels? La plupart d’entre nous a sans nul doute fait appel un jour ou l’autre aux qualifications du pharmacien pour soigner un petit bobo. Coupure, éraflure, hématome, chaque Pharmacie Populaire dispose d’un espace réservé aux premiers soins. Les équipes sont formées régulièrement et aptes à décider de la meilleure option: soigner sur place ou inciter le blessé à effectuer des examens médicaux complémentaires.
Et enfin P… comme Prestations:
En dissociant le revenu des pharmaciens du prix des médicaments, l’introduction en 2001 du système de «Rémunération Basée sur les Prestations» a fait couler beaucoup d’encre et de salive. Pas ou mal informée, la clientèle des pharmacies suisses n’a pas adhéré à la logique des «taxes» appliquées sur les médicaments.
Pourtant, il faudra s’y habituer, le pharmacien va de plus en plus être rétribué pour ses prestations.
Ces dernières, déjà variées, – dépistages, prise de la tension, préparation de semainiers, etc. – sont vouées à s’élargir selon les vœux du Conseil Fédéral, qui souhaite mieux utiliser les compétences des pharmacies dans le domaine de la santé publique. Vaccination, synergie avec les médecins, cybersanté, remise de médicaments soumis à ordonnance, les projets concrets sont légion.
De son côté, Pharmacie Populaire propose depuis plusieurs années des prestations supplémentaires spécifiques, telles qu’un programme pour arrêter de fumer ou la mesure du stress oxydatif.
Rédaction | Pharmacie Populaire
[layerslider id= »2″]