Quand les températures chutent, le risque de subir un refroidissement augmente: cela commence par un léger mal de gorge, suivi d’un nez congestionné, puis d’une toux sèche ou productive. Des symptômes bien connus, le plus souvent bénins –parfois confondus à tort avec ceux de la grippe– qui disparaissent d’eux-mêmes en quelques jours. Différents remèdes simples peuvent toutefois accélérer le processus de guérison, voire empêcher les virus de partir à l’assaut de vos voies respiratoires. Encore faut-il donner à votre corps les moyens de se défendre!
Votre horoscope santé… en mode décalé!
Prévoir l’avenir, telle est la promesse de l’horoscope, la rubrique la plus lue dans les médias. Et si Pharmacie Populaire vous transportait aussi dans l’actualité santé de l’année 2019? Avec Jupiter en Sagittaire porteur de chance et d’opportunités, n’hésitons plus à pousser la porte des étoiles!
Quelques conseils pour un hiver en sécurité
Bon gré mal gré, la saison froide modifie nos comportements. Nous mangeons et nous habillons différemment, nous passons plus de temps à l’intérieur, nous pratiquons d’autres loisirs. Tous ces changements vont de paire avec certains risques, dont les conséquences économiques et sociales ne sont pas négligeables. Adoptez les bons réflexes!
Il était deux fois Noël au CARÉ
Le temps d’un repas, Pharmacie Populaire et le CARÉ s’unissent pour lutter contre la solitude, le rejet, l’exclusion, la marginalisation et toutes les formes de souffrances induites par la pauvreté. Leurs responsables respectifs expliquent comment l’augmentation de la précarité les motive à s’investir.
Précarité à Genève: les seniors de plus en plus concernés
Bien que la Suisse apparaisse à l’étranger comme un pays favorisé, il n’en reste pas moins que toute sa population n’est pas logée à la même enseigne. Les foyers monoparentaux, les personnes seules, sans formation post-obligatoire ou sans emploi, font partie des groupes les plus exposés à la précarité et à la pauvreté.
Une saison à haut risque
Comme tous les ans, l’hiver est là avec son lot de virus saisonniers que l’on essaie tant bien que mal d’éviter. Si une alimentation équilibrée et quelques règles d’hygiène suffisent généralement aux adultes en pleine forme pour passer outre ces petits aléas, ce n’est pas si simple pour tout le monde. Parce qu’ils sont particulièrement fragiles, les enfants en bas âge, les seniors, les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées ou en situation précaire ont en effet plus de mal à combattre ces agents infectieux. Pour mieux protéger cette part de la population, il est de la responsabilité de tous de limiter la propagation des virus.
Agir concrètement contre l’indigence
L’augmentation des situations de «privation matérielle multiple», une expression pour désigner l’absence d’accès aux conditions élémentaires de vie, exige de réfléchir aux causes, pour les combattre. Elle nécessite aussi, en parallèle, une action matérielle sur le terrain.
Pour une bonne saison froide, prévenez les maux de l’hiver!
A l’arrivée de l’hiver, nous nous sentons parfois déprimé, découragé, fatigué, en perte de vitesse ou de motivation… ces symptômes physiques et psychiques peuvent être des freins à notre joie de vivre.
Repousser les microbes au naturel, c’est possible!
Aux portes de l’hiver, nous sommes tous tournés vers un même objectif : nous préserver au mieux des rhumes, angines, gastro-entérites et autres infections typiquement hivernales. Or, pour soulager ces petits maux, comme pour renforcer nos défenses immunitaires, la nature peut devenir notre meilleure alliée.
Une maladie aux complications multiples
La Fédération internationale du diabète nous apprend qu’un adulte sur quinze dans le monde est atteint du diabète. Parmi les personnes malades, la moitié l’ignore. Or, le diabète, quel que soit son type, peut entraîner de nombreuses complications, dont la plupart sont liées à l’altération du système nerveux et des vaisseaux sanguins. Diagnostiqués au plus tôt et correctement pris en charge, les diabétiques peuvent néanmoins vivre longtemps et en bonne santé. Zoom sur cette pathologie, qui selon l’OMS, pourrait bien devenir la 7e cause de décès dans le monde d’ici 2030.