Manifestations sportives variées et environnement propice aux sorties de plein-air… Cet été, Genève offre un cadre idéal pour rester en forme. Seul, entre amis ou en famille, prenez le temps d’apprécier les multiples activités santé qui s’offrent à vous !
Mélanome cutané : les seniors davantage exposés
Profitez du soleil, mais avec modération ! Si nous sommes tous concernés par les dommages que peuvent entraîner les expositions solaires répétées, une récente étude montre que le risque de mélanome a fortement augmenté chez les seniors… explications.
Fit et bronzé : les deux font la paire
Au gré des évolutions socioculturelles, les canons de l’esthétique corporelle ont souvent oscillé d’un extrême à l’autre. Les normes actuelles semblent heureusement tendre vers une approche plus raisonnable, bannissant mannequins squelettiques et bronzage excessif.
Vous prendrez bien un bol d’air ?
Le changement, c’est maintenant !
Pour beaucoup d’entre nous, le passage de l’hiver au printemps est un soulagement. Il fait plus chaud, on est moins malade et l’on peut désormais profiter du beau temps…
Si la cystite n’existait pas …
… il ne faudrait surtout pas l’inventer ! Douleurs intenses dans le bas-ventre et sensations de brûlures, l’infection urinaire est un véritable poison, qui concerne la plupart des femmes au moins une fois dans leur vie.
Les Espaces 1000 premiers jours
L’espace de votre officine de quartier destiné aux futurs parents, aux mamans et aux bébés.
La préparation à la maternité ainsi que les 1000 premiers jours de bébé sont des moments de vie précieux et intimes où les questions se bousculent. C’est une période durant laquelle on souhaite que le réseau de soins soit au plus proche de sa famille, où l’on ressent le besoin d’échanger, de ne pas rester isolé et de s’assurer que l’on bénéfi cie de solutions appropriées.
L’essentiel sur les 1000 premiers jours
A-t-on besoin de repères pour devenir parents ?
Oui, tout le monde a besoin de repères, mais chacun s’y prend à sa façon. Certaines personnes sont déjà bien entourées (parents, amis), d’autres ont besoin de se rassurer avec des conseils de spécialistes ou des livres. Le plus important, c’est de bien s’informer pour pouvoir choisir librement et sereinement lorsqu’il s’agit de défi nir, par exemple, le type d’allaitement ou d’alimentation que l’on va off rir à son enfant.
Justement, concernant l’allaitement, de plus en plus de femmes y ont recours… c’est un eff et de mode ou s’agit-il d’une vraie tendance ?
Il y a eu une montée en puissance des laits industriels dans les années 1970, suivie d’un retour de balancier. Aujourd’hui, il a été démontré que le lait maternel reste la meilleure forme d’alimentation, notamment parce qu’il contient de nombreux anticorps. La plupart des pays s’alignent donc sur les recommandations de l’OMS, qui prône un allaitement exclusif les six premiers mois de l’enfant. Cela dit, les laits infantiles de substitution restent une très bonne alternative pour les mères qui ne veulent ou ne peuvent pas allaiter.
Mais les recommandations offi cielles changent au fi l du temps. comment s’y retrouver ?
Oui, cela peut être déstabilisant pour des parents ! Par exemple, pour la diversification alimentaire. Les plans d’alimentation étaient plus détaillés auparavant : on distinguait les diff érents légumes, on les introduisait dans un ordre très strict… Aujourd’hui, ce n’est plus le cas ! Des études récentes ont montré que le fait d’introduire un peu plus tôt certains aliments protège des allergies, alors qu’auparavant on pensait qu’il fallait faire le contraire. On recommande aujourd’hui de diversifi er entre 4 et 6 mois, selon les envies des parents… et les préférences du bébé !
Autre sujet qui préoccupe les parents : le sommeil. existe-t-il un âge auquel l’enfant est censé « faire ses nuits » ?
Non, les enfants sont très diff érents les uns des autres. Certains ont un bon rythme de sommeil dès 1 mois, d’autres à 6 mois… La plupart des nouveaux-nés font leurs nuits entre 1 et 6 mois, soit 6 heures d’affi lée dans une nuit, mais il n’existe pas de règle.
Existe-t-il différentes phases du développement du bébé ?
Elles sont très variables d’un bébé à l’autre. Il faut éviter de dire qu’un enfant marche à 1 an, car certains marchent bien plus tardivement. Idem pour la parole qui peut commencer à 1 an, mais aussi parfois à 2 ans. Je préfère parler de thématiques : sommeil et alimentation sont au coeur de la première année, la deuxième année marque les débuts de l’autonomie. La marche sera alors une étape importante. Tout comme les dents qui permettent de manger « comme un grand » et qui changent la physionomie du bébé : il acquiert alors un visage d’enfant.
Quelles sont les angoisses et préoccupations récurrentes des parents ?
Les angoisses liées au développement de l’enfant sont, le plus souvent, injustifi ées : les parents voudraient que leur enfant réponde à des normes. Or l’enfant suit son propre rythme, ce qui n’aura aucune infl uence sur son développement futur. Quels conseils donneriez-vous à de futurs parents ? Il faut s’écouter soi-même et se faire confi ance. Et, si besoin, se documenter pour pouvoir prendre des décisions en pleine connaissance de cause. Attention aux recettes de grand-mère et aux théories des gourous de la petite enfance : elles peuvent très bien convenir aux uns, mais pas aux autres !
Cyril Jost, journaliste et père de deux filles, a exploré l’univers complexe des bébés. Il a compilé les principales informations à connaître, dans un livre pour futurs parents déboussolés. À lire en attendant bébé ou entre deux biberons !
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Cyril Jost, « L’essentiel sur les bébés ». Illustrations de Pierre Wazem. 160 pages. Éditions Loisirs et Pédagogie.
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En mode allergie printanière
Soleil, renouveau, températures agréables, nature en éveil, font désormais partie de notre quotidien et nous réconcilient avec la météo. Sauf pour certains, qui appréhendent cette période propice aux allergies. Eh oui, les températures douces du mois de mars n’ont pas que fait chantonner nos chers moineaux. Les noisetiers et les aulnes se sont réveillés de leur léthargie hivernale lâchant du pollen à tout va. Ils sont suivis ce mois d’avril par le frêne, le bouleau, le charme, le platane et l’hêtre. Un mélange corsé pour les victimes du rhume des foins !
Une maladie vieille comme le monde
Décrite en 1872, le rhume des foins est la plus ancienne maladie allergique connue, liée au pollen des plantes et des arbres. Présent une bonne partie de l’année, le pollen connaît toutefois son pic spectaculaire de reproduction au printemps. Durant cette saison, ce vecteur d’insémination voyage de fleur en fleur à l’aide du vent et ce faisant, répand ses allergènes. La conséquence, chez les personnes qui y sont sensibles, est un cocktail explosif de tous les symptômes de la rhinite allergique qu’est le rhume des foins : éternuements à gogo, nez congestionné, yeux rouges et démangeaisons de la gorge.
Pourquoi moi ?
L’allergie est la réponse de votre système immunitaire après un contact avec des éléments que l’on appelle « allergènes ». Ces derniers, souvent inoffensifs par ailleurs, sont signalés comme dangereux par votre corps. Ils peuvent être naturels (graminées) ou artificiels (polluants) et mis en contact par voie respiratoire (pollen), cutanée (piqure d’insecte) ou alimentaire (kiwi, médicaments). La médecine n’a pas encore toutes les clés expliquant les raisons de cette sensibilisation à outrance. Il est toutefois communément admis que si les facteurs génétiques sont sollicités, l’environnement a également un rôle prépondérant.
Profiter du printemps
Quelques précautions, qui s’appliquent aussi aux enfants, peuvent aider à mieux supporter cette période. Il serait dommage, en effet, de s’enfermer chez soi alors que la nature est en renaissance. En accord avec votre médecin ou votre pharmacien, ayez toujours sur vous un antihistaminique. Les allergènes diffèrent selon leur provenance (arbres, graminées ou herbacées) et en fonction des heures de la journée, aussi n’aérez pas vos pièces en milieu de matinée ou en début d’après-midi. Evitez les longues balades dans les champs ou au milieu des herbes hautes et si vous projetez de pique-niquer, prenez place sur une couverture. Sachez que les jours de grand soleil sont davantage propices aux allergies et informez-vous de la météo pollinique *. Enfin de retour chez vous, faites passer tout le monde par la case douche, car le pollen s’accroche aux cheveux et peut continuer à vous ennuyer à distance.
* Retrouvez toute l’actualité concernant le pollen en Suisse sur www.pollenundallergie.ch
Ladane Azernour-Bonnefoy
Contenu & Cie
La fièvre du samedi soir ou presque…
Courbatures, épuisement, envie de dormir sont autant de signes qui accompagnent la fièvre, qui n’est autre qu’une hausse de la température corporelle.
Un mal à en perdre la tête
Sournois et entêtant, le mal de tête s’invite souvent sans prévenir. Diffi cile d’être effi cace, de réfl échir ou de vaquer à ses occupations quand le principal moteur qu’est la tête, est en mode douleur.