La nature a mis à notre disposition de multiples plantes et ressources répondant à chaque besoin de notre organisme suivant notre âge. Franchir l’hiver en pleine forme est à la portée de tous, avec ces aides naturelles ou des médicaments appropriés. Virus et autres maladies hivernales habituelles ne résisteront pas à ces remèdes et à quelques gestes de bon sens, sans avoir forcément besoin d’antibiotiques. Tout cela, en renforçant nos propres défenses immunitaires. Qui dit mieux?
Avec la saison froide, le recours aux antibiotiques explose pour contrer refroidissements et maladies hivernales. Ce reflexe répétitif au fil des années induit des risques majeurs autant qu’invisibles pour votre santé. Accumulations de traitements, emplois inappropriés et prises prolongées sont mis en cause. Sans oublier ceux qui n’attendent pas de se sentir patraques et s’automédiquent par anticipation avec les comprimés restant dans leurs boîtes. Autant de choix et d’habitudes qui sont sources potentielles de graves répercussions pour la santé individuelle et mondiale. Pourquoi et comment éviter cela? Pour les maladies suivantes, des solutions sans antibiotiques existent!
Pneus neige montés? Batterie contrôlée? Essuie-glaces fonctionnels? Félicitations, votre véhicule est paré pour affronter la saison froide. Ah, au fait, c’est le dernier moment pour que le conducteur et les passagers fassent eux aussi le nécessaire pour passer l’hiver en toute sécurité…
Roland jubile. Il l’attendait depuis plusieurs mois, il en a organisé lui-même tous les détails, et la voilà enfin qui débute, cette fameuse semaine de vacances de ski. Soleil, neige fraîche, tous les voyants sont au vert. Pas de temps à perdre, Roland s’élance sous le regard admiratif, espère-t-il, de ses camarades. Mais après trois virages, patatra, c’est l’accident! Immobilisé pendant un mois, Roland a eu le temps de passer en revue les erreurs commises.
Destinés à l’origine à prévenir l’apparition de certaines pathologies, les compléments alimentaires sont utilisés davantage aujourd’hui pour le bien-être et/ou retarder les effets du vieillissement. Coup de fatigue, baisse de moral, désordre digestif, teint terne, cheveux cassants, troubles du sommeil… Ces petits maux passagers peuvent aujourd’hui rapidement s’améliorer grâce à des supplémentations adaptées. Encore faut-il faire le bon choix ! Santé Mieux-Être vous propose ce mois-ci quelques conseils pour vous y retrouver face à la pléthore de produits disponibles sur le marché.
Le 2 février, jour de la Chandeleur, est une journée très particulière en Amérique du Nord : il s’agit en effet du «jour de la marmotte», localement appelé «groundhog day». Un évènement très attendu de la population, car potentiellement annonciateur de la fin de l’hiver. Ainsi, de l’humeur d’un rongeur dépend la durée de notre torpeur…
Quand les températures chutent, le risque de subir un refroidissement augmente: cela commence par un léger mal de gorge, suivi d’un nez congestionné, puis d’une toux sèche ou productive. Des symptômes bien connus, le plus souvent bénins –parfois confondus à tort avec ceux de la grippe– qui disparaissent d’eux-mêmes en quelques jours. Différents remèdes simples peuvent toutefois accélérer le processus de guérison, voire empêcher les virus de partir à l’assaut de vos voies respiratoires. Encore faut-il donner à votre corps les moyens de se défendre!
Bon gré mal gré, la saison froide modifie nos comportements. Nous mangeons et nous habillons différemment, nous passons plus de temps à l’intérieur, nous pratiquons d’autres loisirs. Tous ces changements vont de paire avec certains risques, dont les conséquences économiques et sociales ne sont pas négligeables. Adoptez les bons réflexes!
Comme tous les ans, l’hiver est là avec son lot de virus saisonniers que l’on essaie tant bien que mal d’éviter. Si une alimentation équilibrée et quelques règles d’hygiène suffisent généralement aux adultes en pleine forme pour passer outre ces petits aléas, ce n’est pas si simple pour tout le monde. Parce qu’ils sont particulièrement fragiles, les enfants en bas âge, les seniors, les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées ou en situation précaire ont en effet plus de mal à combattre ces agents infectieux. Pour mieux protéger cette part de la population, il est de la responsabilité de tous de limiter la propagation des virus.
L’augmentation des situations de «privation matérielle multiple», une expression pour désigner l’absence d’accès aux conditions élémentaires de vie, exige de réfléchir aux causes, pour les combattre. Elle nécessite aussi, en parallèle, une action matérielle sur le terrain.
